Depuis la dernière fois que nous avons parlé de "The walking dead", nos héros se sont trouvés sur la route, dans une petite bourgade, sur la route, dans une ferme avec des réfugiés, sur la route, et enfin dans une prison.
Rick et toute la clique s'étaient retrouvés dans une ferme habitée par le père et ses enfants, tous âgés d'au moins une vingtaine d'années. Difficile toutefois de coexister à autant de personnes dans la petite ferme où ses habitants croyaient pouvoir vivre en autarcie. C'était sans compter sur le fol espoir du père de famille de voir les membres zombifiés de sa famille redevenir humain, et qui les gardait donc dans une grange... Bien sûr, le drame arriva et toute la clique s'en fût.
Peu de temps après, une prison se profile à l'horizon. Celle-ci est cernée par les moisis du bulbe, et encore habitée par quelques détenus. Voilà toute une série d'épisodes où les auteurs continuent d'explorer les recoins de l'âme humaine et des comportements plus ou moins glorieux des assiégés. Sans trop dévoiler l'histoire, on peut néanmoins dire (mais vous vous en doutiez) que des personnages mourront, d'autres apparaîtront, mais surtout que lorsque l'on croît que ça se tasse enfin, tout repart de plus belle; ou plus exactement, rien ne s'arrête jamais.
Alors que l'on vient de dépasser les 50 épisodes, la série ne s'essouffle pas, bien au contraire; et si vous atteignez ce #50, je vous garantis que vous irez encore bien plus loin dans la série. La faute à ce don de Kirkman (présent depuis le début, soit plus de 4 ans !!) à faire disparaître du paysage même les personnages les plus aimés...
Et tout ça avec des gens ordinaires. Le pire ennemi n'est peut-être pas la face des moisi des zombies...
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