Si c'est du gore que vous cherchez, entre deux comics d'esthétisme, c'est "The Darkness / Pitt" qu'il vous faut. Trois épisodes où la sauce tomate coule à flots et où l'on mêle forces noires démoniaques, môme surdoué, aliens, hybrides d'aliens et humains et virus. Rien de moins.D'un côté, The Darkness, alias Jackie Estacado. C'est un mafieu, à la tête de la famille Franchetti et porteur actuel du Darkness. Il s'agit d'une sorte de malédiction vieille comme le monde, qui lui permet, la nuit venue, de transformer à volonté en objets solides et recourir à l'Army Of Darkness, de petits êtres qui aiment les balades dans la nature, et éviscérer les passants (pas nécessairement dans cet ordre).D'un autre côté, Tim le petit garçon et Pitt. Le premier possède des pouvoirs mentaux puissants et le second est un hybride d'humain et d'alien, créé par les Creed pour devenir une machine à tuer. Il s'est rebellé et se cache sur Terre. Tim est son demi-frère génétique.
Face à eux, les aliens Gilad ont créé des morts-vivants et se sont retrouvés complètement dépassés par leur expérience. Ils ont pris un cobaye humain, l'ont infecté avec un virus qui ne pense qu'à détruire (original, non?). Le virus les a infectés eux aussi et se répand en ville.
Voilà pour le scénario, qui ne pèse finalement pas bien lourd; décevante sera aussi la fin, même s'il y a un essai d'humour. Avec aussi l'intervention des Fédéraux qui ne servent pas à grand chose dans cette histoire.
En fait, le principal intérêt réside dans le dessin de Dale Keown qui correspond parfaitement à l'ambiance du comic. Pour The Darkness il fallait des ténèbres et la maîtrise du dessin de créatures toutes en dents, noirceur et chair torturée. Pour The Pitt, il fallait du muscle, principalement. Et côté couleurs, on a un effet métallique agréable à l'œil.
Images Top Cow
Face à eux, les aliens Gilad ont créé des morts-vivants et se sont retrouvés complètement dépassés par leur expérience. Ils ont pris un cobaye humain, l'ont infecté avec un virus qui ne pense qu'à détruire (original, non?). Le virus les a infectés eux aussi et se répand en ville.Voilà pour le scénario, qui ne pèse finalement pas bien lourd; décevante sera aussi la fin, même s'il y a un essai d'humour. Avec aussi l'intervention des Fédéraux qui ne servent pas à grand chose dans cette histoire.
En fait, le principal intérêt réside dans le dessin de Dale Keown qui correspond parfaitement à l'ambiance du comic. Pour The Darkness il fallait des ténèbres et la maîtrise du dessin de créatures toutes en dents, noirceur et chair torturée. Pour The Pitt, il fallait du muscle, principalement. Et côté couleurs, on a un effet métallique agréable à l'œil.
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